Tocqueville sobre as belas-letras

Apesar de Tocqueville referir-se à literatura greco-romana, dificilmente não prolongaria seu “Amérique” sobre o Brasil e seu “clássico” a tudo quanto nossa sábia academia rotula “canônico” (Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique, tomo segundo, parte primeira, capítulo décimo-quinto):
Si l’on s’obstinait à n’enseigner que les belles-lettres, dans une société où chacun serait habituellement conduit à faire de violents efforts pour accroître sa fortune ou pour la maintenir, on aurait des citoyens très polis et très dangereux ; car l’état social et politique leur donnant, tous les jours, des besoins que l’éducation ne leur apprendrait jamais à satisfaire, ils troubleraient l’État, au nom des Grecs et des Romains, au lieu de le féconder par leur industrie.

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